Emilie Brout & Maxime Marion, Douglas Coupland, Chun Hua Catherine Dong, Justine Emard, Louis-Samuel St-Aubin, Xavier Snelgrove & Mattie Tesfaldet.

Vernissage le vendredi 1er avril à 19h
La coursive du Kiasma, lieu d’exposition

Nous avons tout appris aux machines. Aujourd’hui, elles apprennent par elles-mêmes, c’est le « machine learning ». De plus en plus d’artistes collaborent avec les machines pour faire oeuvre. Ne serait-il pas temps de considérer la valeur de l’enseignement que prodiguent les machines de toute sorte, alors que de plus en plus d’artistes exploitent les potentiels créatifs des technologies dont ils considèrent aussi les imaginaires et esthétiques qu’elles inspirent ou produisent ?
Human Learning. Ce que les machines nous apprennent est une exposition qui documente le monde au travers des technologies qui le façonnent.
Les oeuvres réunies offrent une grande diversité d’écritures : des dispositifs interactifs induisant que l’on en appréhende les jouabilités, des installations génératives dont les processus sont totalement autonomes.
Consacrer une exposition aux machines et aux idées ou esthétiques qui en émergent reviendrait presque à en accepter les enseignements ?

Produite par le Centre culturel canadien qui l’a présentée en 2020, cette exposition est une version revue spécialement pour les espaces du KIASMA. Human Learning a été conçue par les commissaires Dominique Moulon et Alain Thibault, ainsi que Catherine Bédard commissaire associée.
 

En partenariat avec le Centre culturel canadien à Paris

Entrée libre